Certaines évaluations tentent de juger de l’efficacité d’interventions en s’intéressant à des populations marginalisées ou fragilisées particulières comme les jeunes, les femmes ou les ruraux. Comment ces évaluations cernent-elles les enjeux particuliers de ces populations ? Certaines évaluations tiennent-elles compte des écosystèmes physiques à risque ? Comment ces évaluations sont-elles passées d’une pratique axée sur les constatations générales à des réflexions permettant de préciser ce qui fonctionne, pour qui, comment et dans quel contexte ?